Les
syndics de la paroisse
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Jean
LAFOSSE fils |
1729 |
Il
fut
élu le 26 décembre 1729 en présence de
Lemasson,
prêtre de la paroisse. Lafosse cumulait les fonctions de
marguillier et de syndic. |
Noël
BEAUNET |
1731 |
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Maurice TIPHAGNE
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Il tenait de l'abbaye de Jumièges la
ferme-manoir d'Yainville d'où il fut
évincé par François Lesain
père. Mort en fonction le 15 avril 1771.
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Charles BOCQUET
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1771
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Beau-frère du
précédent. Il s'opposa aux moines de
Jumièges qui lui préféraient
François Lesain.
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Jacques
ROLLAIN |
1789 |
Carrier
à Claquevent. |
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Les agents et maires
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Jacques ROLLAIN
Les descendants de Rollain conservent
ce portrait supposé de leur ancêtre. Douteux.
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1789 - 1794
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Syndic à
la Révolution, on le retrouve "agent
municipal", ce qui équivaut à maire, élu pour
deux ans, rééligible par les citoyens "actifs".
Pour voter, il faut
alors verser une contribution au moins égale à
trois journées de travail.
Pour être élu, il faut en verser dix.Né à
Duclair le 17 avril 1743, Rollain
perdit sa femme,
Madeleine Marguerite Leroy, le 31 juillet 1790. Il est attesté comme "maire" en septembre
1791 et signe encore avec cette mention en
février 1794.
On le voit demander
un passeport révolutionnaire en janvier 1796 et on le dit
alors
habiter Yainville depuis 15 ans. soit depuis 1780.
Il
en obtient un
second en février 97. Taille : 5 pieds 5 pouces, cheveux et
sourcils châtain, yeux bleus, nez long, bouche moyenne,
menton
rond, front haut, visage plein, inscrit n° 7, pour
l'étendue
de la République. En janvier 98, juin 99, il est dit
cultivateur. En novembre 99 il ajoute la qualité de marchand
pour pouvoir se rendre à Rouen, au Havre et Honfleur.
Mort le 16 nivôse an onze (6
janvier 1803) a 60 ans.
Son fils sera également maire.
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Robert
GUILBERT |
1795 |
Doit-on
le comprendre dans la liste des maires ? Il est attesté
comme agent
le 4 mai 1795.
La constitution du 22 août 1795 instaure les
municipalités cantonales. Chaque commune élit un
agent municipal,
équivalent de maire, qui, ici, participera à
l'administration municipale
du canton de Duclair.
Le 19 mars 1793, sa fille Marie avait accouché d'un Nicolas
né de père inconnu dans la maison familiale.
Guilbert est
alors sollicité par Le Chanoine pour servir de
témoin
à quelques actes d'état civil. Il les signe avec
l'unique
qualité de laboureur.
Il est décédé à Yainville
le 9 septembre
1800 à 66 ans avec la qualité de cultivateur. Il
est donc
né vers 1734. Jean-Baptiste Lafosse, douanier de 46 ans,
déclara le décès à
François Lesain
en compagnie d'André Boulanger, journalier de 22 ans. |
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Les maires de la commune |
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François LESAIN |
1796 - 1826 |
Dès
décembre 1792, il est attesté parmi les
élus |
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d'Yainville. A partir de janvier 1796,
il signe tous les
actes avec la
qualité d'agent municipal, soit l'équivalent de
maire.
Delépine était son
adjoint.
A partir du 13 décembre 1799, le
premier magistrat de
la commune est nommé par le Préfet et non plus
élu. La loi municipale
du 17 février 1800 restaure le titre de maire. Son cousin
Charles-Antoine Deshayes racontait qu'il avait
préservé les privilèges des
Yainvillais dans la forêt de Jumièges en sauvant
du brasier les parchemins de l'abbaye concernant son village.
Lesain est
maire provisoire en mai 1800 puis maire
en juin, Auparavant, c'est le curé
d'Yainville, l'abbé Lechanoine, qui tenait les registres en
qualité d'officier de l'état civil.
En 1814, Jacques Rollain, cultivateur, est son
adjoint.
A
la Restauration, maire et conseillers sont nommés par le
Préfet. Le 24 septembre 1821, le nom de Lesain
apparaît dans le Journal de Rouen parmi les souscripteurs pour
le rachat du domaine de Chambord. François Lesain
légua une somme pour la réouverture de
l'église et la sauva ainsi de la destruction voulue par les
fabriciens de Jumièges. Il est mort en fonction le 11
février 1826.
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Pierre
Michel ROLLAIN |
1826
- 1829
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Né le 18 mais
1768 au Trait, fils du syndic et premier
maire, il s'est marié à 40 ans le 6 septembre
1809 à Yainville avec Marie Marthe Rose
Damandé, 28 ans, domestique, fille d'un journalier de
Duclair. Delépine était son adjoint.
Décédé en fonction le 15 septembre
1829 à
Yainville. Dans son empressement à lui succéder,
Delépine signe
"par nous maire de la commune" et doit rajouter
en bas de l'acte "adjoint
au".
Il n'avait noté que sa profession : marchand chaufournier.
C'est un voisin lieutenant de douane, Victor Hue et un
collègue chaufournier, Antoine Lelong, qui
déclarent le
décès. |
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Jean-Georges DELEPINE |
1830 - 1839 |
Né le 4 juin
1787 à Yainville de Martin Georges, cultivateur et
Marie-Geneviève Tiphagne. Après
1831, les maires seront toujours nommés mais les conseillers
élus cette fois pour six ans avec un rôle
figuratif. Il
était fils de Martin Georges Delépine et Marie
Geneviève Tiphagne. C'était un
propriétaire
foncier. En 1825, il vendit à Jean-Baptiste Ponty, de
Jumièges, un immeuble sis à Yainville moyennant
400 F. En
1835, alors maire, il vendit
à Jacques-Philippe Lefort, négociant à
Rouen,
trois corps de ferme qu'il occupait en compagnie de Tranquille Duval.
Le tout représentait plus de onze hectares en cours closes,
terres, jonc-marinières, bois-taillis... Lefort
était le
fils d'un notable établi à Jumièges.
Devant quitter Yainville,
il démissionna. |
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Charles LESAIN |
1839 - 1846 |
Né
à Jumièges le 27 février 1794 de
Charles Lesain |
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et
Marguerite Ouin, parrainé par Jean Ouin, agriculteur
jumiégeois et Marie-Madeleine Lesain, d'Yainville, c'est un
cousin de François Lesain, déjà
cité comme
maire d'Yainville.
Charles Lesain fut d'abord un maire de
Jumièges très contesté. A
Yainville, à partir de décembre 1839, il
fut tout aussi impopulaire en trahissant les dispositions testamentaires de son parent et en
refusant la
réfection de l'église. Ce qui compromit
l'indépendance de sa commune. On le voit contribuer à
l'achat d'une épée d'honneur pour l'amiral Duguay-Trouin
et aux secours des victimes de l'ouragan de Montville-Malaunay en 1845.
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Pascal METTERIE |
1846 - 1848 |
Pascal
Metterie est né à Jumièges
le 28 mars
1785 de Louis
François Alexandre de la Metterie et Marie
Élisabeth
Roussel. Il s'est marié le 31 octobre 1810 au
Landin
avec Marie Élisabeth Prudence Aimée Levillain,
d'une
famille originaire du Mesnil. Il était garde des
forêts. Ses six enfants sont tous
nés à Yainville:
Félix
Honoré
Metterie, 1813-1875, Rose Aimée Metterie 1814,
Eloïse
Palmire Metterie 1817, épouse Houzard qui conserva du bien à Yainville, Paschal
Félix
Metterie 1818-1821, Félix Alphonse Metterie 1818,Victrice
Achille Metterie 1823-1875, époux Henriette Marais,
rentier,
mort à Yainville en 1875.
Partisan
de la reconstruction de l'église, il fut nommé
maire à la démission de Lesain en mars 1846. Accusé
de vol, il démissionna en février 1848. Il est décédé le 7 octobre 1863 à Guerbaville. |
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Jean Augustin LAFOSSE |
1848 - 1884 |
Né au Vaurouy le 24 octobre 1817 de Jean-Louis Lafosse et
Marie-Rose
Ponty,
agriculteur, il épouse le 12 juillet 1841 à
Jumièges Marie-Rosalie Euzé. 37 ans de mandat !
Record de
longévité. Sous
son mandat furent construits l'école, la mairie, le
presbytère... Lafosse aura
traversé divers systèmes. Après
la Révolution de 1848 et jusqu'en 1851, le maire est
élu
par son conseil. De 1852 à 1871, il est à nouveau
nommé par le Préfet. Ainsi, le 25 juillet 1852,
Lafosse
fut-il nommé avec Isidore Aubé pour adjoint. En
août 1860, il aura Mabon pour adjoint. A partir de 1871, le
maire
est
élu par son conseil, sauf dans les chefs-lieux et les
villes. C'est le cas de Lafosse en juillet 71 qui a Pierre Jacques
Thuillier pour adjoint. Ils sont reconduits par arrêté préfectoral en mars 1874. Lafosse se
fit remarquer en 1881 par ses propositions visant à amliorer la navigation
en Seine. Mort en exercice en mai 1884. |
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Émile SILVESTRE
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1884 - 1894 |
Il
est né le 27 août 1837 à Yvetot, rue
Marc-Bridelle,
d'Emile Alphonse Silvestre, maître de pension, et de
Stéphanie Clémence Gouas, la fille du boulanger
de
Duclair. Élu en mai 1884 après la mort subite de
Lafosse,
il a Levreux pour adjoint. Carrier à Claquevent
où les
conditions de travail étaient terribles. Il y eut plusieurs
morts, plusieurs blessés. Il a aussi créé un
service de messagerie maritime entre Duclair et Rouen. Mort en exercice
en mai 1894 d'une crise cardiaque à Rouen. Sa veuve
légua
à la commune six maisons ainsi qu'un legs
conséquent destiné à
l'école, au bureau de bienfaisance. Sa tombe fut
profanée à la Libération. |
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Patrice COSTE |
1894 - 1904 |
Il
est né à Yainville le 26 septembre 1824 de
Patrice
Constant, maître de bateau et de Caroline
Emélie
Virvaux, mariés ici quatre ans plus tôt. Ancien
douanier. Il vivait dans une ferme
à l'emplacement de la future savonnerie. Il fut élu maire en 1894 à la mort de Silvestre.
Aux
élections de
juin 1900, furent élus Émile Delaune, Athanase Leroy,
Achille
Chauvin, Émile Carpentier, Pierre Levreux, Patrice Costé,
Albert
Prévost, Auguste Masse, au 2e tour le peintre Maurice Ray et
le carrier Eugène Guibert. Leroy fut nommé
adjoint.
Son mandat s'acheva en mai 1904. Patrice Costé a été
inhumé le 1er janvier 1911 à Yainville
à 86 ans. |
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Athanase LEROY |
1904 - 1922
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Né
au Trait en 1847, marié en celle même commune avec
Berthe
Marie Huchy, il
fut élu le 15 mai 1904 au bénéfice de
l'âge
contre Guibert, le patron des carrières. Joseph Lafosse sera son
adjoint. Le 16 mai 1908, un nouveau conseil fut installé
comprenant, outre Athanase, Émile Carpentier, Auguste Fessard, Albert
Prévost, Maxime Passerel, Lucien Lefebvre, Joseph Lafosse,
Auguste Masse, Émile Delaune et Constant Coquin. Il fallut cinq tours
de scrutins pour élire l'adjoint et Émile Carpentier fut
nommé contre Lafosse au bénéfice de l'âge.
Leroy
assista en 1910 aux obsèques du maire de
Jumièges, assassiné par l'un de ses conseillers. Marchand
de fruits, grainetier aux
Fontaines, il eut affaire
à Sacha Guitry qui le cite en estropiant son
prénom. Guitry serait intervenu pour lui obtenir le
Mérite agricole et l'aurait obtenu à sa place par
erreur. Ce qui semble une pure invention. En 1913, Leroy est aux
obsèques d'Henri Fournoult, une personnalité de
Canteleu.
Des trois enfants de Leroy
nés au Trait seules ses deux filles ont survécu :
Alice,
épouse Hauchard, Marie, épouse Ahran. Son mandat s'acheva en mai 1922.
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Émile CARPENTIER |
1922 - 1925 |
Le poids des ans pesant sur ses
épaules,
Leroy souhaita céder son écharpe tout en restant
au
conseil. Carpentier fut élu en mai 1922 par 9 voix contre une
à
Fessard qui sera son adjoint.
Émile Carpentier était né à Jumièges en
1866. Il y
avait épousé Florentine Monguerard le 21 octobre
1893.
Curieusement, Carpentier ne figure pas dans la liste des conscrits de
1886. Le couple tenait la ferme de
l'église et y élevait un fils et une fille,
Daniel et
Lucile ainsi qu'un neveu natif de Jumièges, Georges
Lépagnol. Carpentier était
aussi chantre de Saint-André et chariton. Son mandat s'acheva en mai 1925.
Il se retira
à Jumièges mais ont le revit ici
à la messe
dominicale et puis au
café de l'église où il
tapait le domino au
grand dam du curé de Jumièges qui attendait la
fin de la
partie pour remonter. |
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Auguste FESSARD |
1925- 1929 |
Dernier
maire paysan d'Yainville. il est né le 9 juillet 1874
à
Anneville-sur-Seine. A 20 ans, il était jardinier quand il
se
rendit an conseil de révision. Son père,
Jean-Baptiste,
était alors décédé et sa
mère,
Euphrosine Angéla Pigache, résidait au Trait.
Étant fils
unique de veuve, on le dispensa de service. Peu de temps car il fut
incorporé le 12 novembre 95 comme 2e classe dans le 24e
d'infanterie. C'était un petit monsieur d'1,57 m au
nez
retroussé, le front découvert, une grande bouche,
les
cheveux châtain clair. Le 11 septembre 1897, il se maria au
Trait
avec Angélina Marie Lintot. Il est
localisé
à Yainville en 1900 quand naît sa fille Juliette.
Le 3
août 14, on n'oublia pas de le mobiliser et il fit toute la
guerre dans l'Infanterie avant de la terminer le 1er janvier 1919 dans
un régiment d'aérostation. Entre temps, le 7
juillet
1917, il avait été blessé par un
éclat
d'obus au ventre et aux paupières. |
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Jean LÉVÊQUE
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1929 - 1945 |
Il
est né en 1881 à Saint-Emilion et fut
électricien
à la Havraise. Rad-soc, il figure sur une carte-postale du
café de l'église. Un an après son
élection,
Jean Desjardins Lévêque participe à Caudebec
à la
création du Groupement des intérêts de
la Seine
maritime.
Débuté en mai 1929, son administration recueillit
le fruit de l'industrialisation de Claquevent.
Lévêque eut d'abord Gustave Chéron pour
adjoint. A
sa mort, en décembre 36, on porta Albert Brunet à
sa
succession. Mais il refusa et ce fut Le Doze, un Breton, qui fut
élu. Lors de nouvelles élections, Brunet
accepta le
poste le 5 janvier 38. Cultivateur, il est né à
Anneville
en 1900.
Après la défaite de juin 40, Jean
Lévêque ne
siège pas au conseil de juillet qui est
présidé
par Dominique Piot, dit "fonctionnaire maire". Léveque
retrouve
cependant son fauteuil en septembre et, dès lors, Piot sera
systématiquement absent durant toute l'Occupation. Il est l'époux de Louis Binard qui disparaîtra en 51.
En 1944,
on
voit siéger la première femme
conseillère
municipale, Marguerite Guéroult, native de
Jumièges,
épouse de Marcel Blaise, prisonnier de guerre.
Georges Piot, frère de Dominique est élu en avril
45 et siégera sous l'administration de Gaston Passerel.
Jean Léveque reste également conseiller municipal
et aura
l'originalité d'être seul à voter
contre
l'adhésion de la commune
à la lutte antialcoolique. Finissant ses jours chez
Théophile Pourhomme, il coucha sur son testament une
tournée d'apéritif au café de l'Église. Ce
qui fut religieusement respecté après son
décès survenu le 8 janvier 1961.
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Gaston PASSEREL
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1945 - 1964
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Né
le 21 avril 1883 à Lavau, dans l'Yonne, de Maxime Passerel
et
Eugénie d'Orléans. Régisseur, il
s'engagea en 1902
pour quatre ans et quitta l'armée avec le grade de sergent.
Localisé ensuite à Paris puis Etampes.
Mobilisé le
3 août 1914, grand blessé par ensevelissement en
juin
1915, maintenu cependant dans le service armé. On le retrouve
dans les années 30 comme régisseur du
château de
Thoiry. Il fut élu le 19 mai 45 avec Marcel Blaise pour
adjoint.
Son
père Maxime,
né à la Poterie-Mathieu en 1848, avait
été conseiller municipal d'Yainville
où il
exerçait le métier de garde-chasse pour le compte
de M.
Durand. Sa première équipe comptera Suzanne
Brunet, ep.
Marotte, native de Dreux, comme conseillère.
En 1947, il est réélu face à
Raphaël
Quevilly, conseiller sortant. Marcel Blaise reste adjoint. Le
conseil est composé aussi de MM
Henri Mezeray, Paul Le Corre, Henri Beyer,
Eugène Charles, Théophile
Pourhomme, Georges Piot, Jean Lévêque et de Mme
France
Marcilloux. Aux élections de 1953, toute sa liste écrase
celle de Raphaël Quevilly. Son mandat s'acheva en novembre 1964. |
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Théophile POURHOMME
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1964 - 1974 |
Né
à Pexiora le 1er juin 1899. Une famille de cette commune de
l'Aude, les Montagné, était venue
s'établir
à Yainville avant guerre. Elle s'y rendra durant l'exode en
compagnie des Macchi. Après quoi, les Pourhomme les suivront
en
Normandie. Chef de fabrication, Théophile Pourhomme fut très vite conseiller
municipal. Le fils aîné de Théophile, Alix
Pourhomme,
épousa Jacqueline Macchi à la
Libération. Francis, son autre fils, sera une
figure marquante du conseil municipal. Élu en novembre 1964,
Théophile Pourhomme
exerça jusqu'en avril 74. Il est mort à Yainville le 17
septembre 1974.
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Henri MARCILLOUX
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1974 - 1983 |
Né
le 12
octobre 1910 à
Saint-Martin-Sepert, Corrèze. C'est à
l'école normale de Rouen qu'il
effectuera ses études d'instituteur. Après
Petit-Quevilly, il est nommé directeur de l'école
de Yainville et assure les fonctions de secrétaire de
mairie auprès de Gaston Passerel. Son épouse,
France, fut
conseillère municipale dans les années 50. Élu
maire en avril
74. en poste jusqu'en mars 83, Marcilloux est
décédé à Yainville, rue
Sous-le-Val, le 14
février 1990. |
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Jean-Louis CLAUDET
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1983 - 2008 |
Né en 1931 à Fleury-sur-Andelle, 25 ans de mandat, cadre aux
chantiers du Trait, époux de la directrice de
l'école des filles, Josette Le Quillec.
Sa biographie : |
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Anne-Marie DEL SOLE
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2008 - |
Docteur en médecine,
née le 28 décembre 1948 à La Mailleraye-sur-Seine, première
femme maire d'Yainville, réélue sans opposition
en 2014 et 2020.
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