Par Laurent Quevilly-Mainberte
Pascal Metterie, c'est est le maire d'Yainville au plus court mandat. Deux ans ! Largement le temps de déchaîner contre lui les passions. Comme son prédécesseur...
23
février 1846. Le préfet écrit à Metterie.
Conseiller municipal d'Yainville, celui-ci a mené la fronde
contre son maire, ce diable de Charles Lesain qui, contre l'avis de ses
administrés, refusait la restauration de l'église et
rêvait de rattacher sa commune à Jumièges. M. Lesain ayant donné sa démission des fonctions de maire d'Yainville, je vous envoie un arrêté par lequel je vous ai appelé à le remplacer. L'affaire que vous avez à traiter maintenant d'urgence est celle relative à l'érection de votre église en succursale... Ainsi débuta le mandat de Pascal Metterie, cet ancien garde des forêts royales de Jumièges. Rouvrir l'église d'Yainville, il va s'y employer et l'unité du conseil semble encore de mise quand, le 22 juillet 1846, l'archevêque de Rouen vient bénir l'église restaurée d'Yainville. |
Paschal Metterie est
né à Jumièges le 28 mars
1785 de Louis François Alexandre,
journalier, et d'Elisabeth Roussel. Ses
parrains furent Louis Metterie, cultivateur et
Angélique Victoire Roussel, tous
demeurant à Jumièges. Il s'est marié en 1811 au Landin avec Elisabeth Levillain. A la mort de son père, survenue à Yainville en 1829, il était garde des forêts royales de Jumièges. Après son éviction, Pascal Metterie siègera encore au conseil en compagnie de François Lesain. Il fera même alliance avec lui pour reconquérir son écharpe. En vain. |
La
fabrique d'Yainville s'étant reconstituée, elle exigeait
les 1000 F légués en sa faveur par l'ancien maire de la
commune et réclamait même des intérêts
à la fabrique de Jumièges. En août 1846,
Metterie fait délibérer son conseil en ce sens.
Le jour de Noël 1846, on accueillit à bras ouverts l'abbé Barthélémy Lefèbvre dont la mère avait hérité du palais abbatial de Jumièges. Mais l'ambiance n'est déjà plus au beau fixe au conseil.
Une pétition pour le destituerLe jour de Noël 1846, on accueillit à bras ouverts l'abbé Barthélémy Lefèbvre dont la mère avait hérité du palais abbatial de Jumièges. Mais l'ambiance n'est déjà plus au beau fixe au conseil.
En janvier 1847, Pascal Metterie fait l'objet d'une pétition qui exige sa destitution. Le dimanche 7 février, le maire attend chez lui ses conseillers qu'il a convoqués à huit heures du matin. Personne ne se présente. Neuf heures, dix heures... Metterie lève la séance et signe seul. A la fin du mois, il aura plus de succès en convoquant et son conseil et les propriétaires les plus imposés de la commune. Ce sont les sieurs Charles Lesain, Mabon, Aimable Duval, Pierre-Paul Grain, Joseph Perdrix, Cyrille Huet, Victor Gravette et Léon Boutard. Seulement, certains d'entre eux n'ont pas leur domicile principal à Yainville et sont faiblement taxés pour les terrains qu'ils y possèdent. En revanche, Metterie a négligé d'inviter des gens qui y habitent et payent plein pot. L'objet de la réunion : louer à Pierre-Paul Grain une maison devant servir de presbytère au curé d'Yainville pour 18 ans à compter de la prochaine Saint-Michel. On s'accorda aussi à considérer qu'il était plus urgent de relever les murs du cimetière que d'adjoindre une sacristie à l'église.
Mais que reproche-t-on précisément à Metterie. Une lettre datée du 3 mars 1847 à Duclair et signée Lafosse, adjoint et Féret nous en donne un aperçu :
" Monsieur le baron Dupont-Delporte, conseiller d'Etat, préfet du département de la Seine-Inférieure en son hôtel à Rouen...
ont l'honneur d'exposer les propriétaires et habitants de la commune d'Yainville, canton de Duclair, arrondissement de Rouen, qu'ils ont eu l'honneur, le 19 janvier dernier, de vous adresser une supplique qui vous rapportait les griefs que nous avions à reprocher au maire de notre commune et nous demandions enfin à ce qu'il fut pourvu à son remplacement.
" Depuis ce temps, nous n'avons reçu aucune réponse à notre réclamation et nous n'avons qu'à ajouter à nos plaintes contre lui.
" Pour vous en signaler seulement une, monsieur le préfet, il nous suffira de vous dire qu'à la réunion du 27 février dernier, M. le maire a convoqué des propriétaires de la commune qui ne l'habitant pas, (sont) imposés à une minime contribution de 10 à 40 F tandis qu'il négligeait d'appeler 8 à 10 propriétaires qui y sont domiciliés, imposés au rôle des contributions pour une cote de 30 à 60F.
"Nos reproches sont fondés et nous avons le plus grand intérêt à ce qu'il soit pourvu à régler administrativement d'un manière judicieuse aux intérêts généraux des habitants de cette commune.
Ils viennent donc rappeler à votre souvenir, M. le préfet, l'objet de leur pétition et ils attendent de votre bienveillance, une prompte réponse à leur demande..."
Il démissionne...
Les griefs envers Metterie restent donc obscurs. Son autoritarisme, ses insultes en réponse à toute contestation transpirent des délibérations. On lui reproche notamment une affaire de terrain au détriment de jeunes orphelins, les frères Ouin, de Guerbaville. Il semble que, pour élargir le chemin allant de Jumièges à Duclair, Metterie ait rogné celui de ses vis-à-vis pour préserver le sien. Le 5 juillet 1847, les élus, s'estimant trompés lors d'une première délibération, refusent de cautionner la chose et Metterie est encore seul à signer le registre.
Le 20 septembre 1847, Metterie adresse sa démission au préfet. Il a le ton sec d'un homme irrité :
"J'ai l'honneur de vous adresser la présente en vous déclarant qu'à dater d'aujourd'hui, je viens vous donner ma démission des fonctions de maire pour la commune d'Yainville pour des motifs à moi connus.
Veuillez accepter cette démission et pourvoir à mon remplacement et de suite."
En marge de cette lettre, le 30 septembre, on mentionna avoir écrit à Casimir Caumont, le maire de Jumièges, pour avoir le nom du conseiller qui consentirait à remplacer Metterie.
... Mais il est toujours là !
Le 9 octobre 1847, Metterie préside une séance qui le montre soucieux de la maigre propriété communale. Yainville possédait un terrain qui de tout temps s'était appelé "commune pâture dite Vautier". Situé au bord de la Seine, ce terrain est édifié d'un bâtiment à usage de plusieurs habitations. Or deux propriétaires le revendiquaient à présent : Charles Lesain qui prétend en avoir hérité de feu son cousin François, Jean Delépine comme l'ayant obtenu par échange du même François Lesain.
Metterie, lui, entendait ramener cette prairie dans le bien communal. De même que les parcelles 125 et 126 à usage de verger appropriées aussi par François Lesain ainsi qu'une pièce en nature de labour cadastrée sous le n° 361 au triège du Petit-Trou et accaparée par Charles Lesain. Metterie fustigeait ses prédécesseurs d'avoir négligé ces droits de propriété. Ce jour-là, son conseil fut unanime pour les faire respecter.
En rouge figurent trois des quatre parcelles communales appropriées par Charles Lesain. Celles de gauche se situent immédiatement devant l'église, notamment à l'emplacement de l'actuel café. Au milieu du carrefour se situait un petit verger en triangle. Il devint plus tard place de village et l'on y organisa la Sainte-Madeleine..
Trève de courte durée. Le 9 décembre 1847, de son château du Taillis, Jean-Henry Quevremont, conseiller municipal s'adresse au préfet :
"J'avais promis à mes collègues que je me joindrais à eux pour vous porter derechef la plainte la plus alarmante contre le sieur Metterie, maire de la commune d'Yainville, mais me trouvant un peu indisposé, je ne puis m'y rendre.
" Rappelez-vous, monsieur le préfet, ce que je vous ai dit précédemment touchant sa moralité et sa gestion devient de plus en plus alarmante. Lorsqu'il nous rassemble au conseil, c'est pour nous dire des invectives quand on n'est pas de son avis. Alors, il nous menace de nous donner sa démission...
" Enfin, le 27 novembre dernier, c'était pour payer l'indemnité du logement de M. le curé par ordre que vous lui avez expédié de remettre à M. le curé son mandat pour toucher chez le receveur. Le conseil ayant été de votre avis, il s'y est refusé en s'écriant : je vais donner encore ma démission. Ce sera pour la quatrième fois !
Comme j'y assistais et qu'il l'a de suite faite écrire par son greffier devant nous, alors nous nous sommes retirés.

Conseiller municipal d'Yainville, le châtelain du Taillis fut un opposant de poids à Pascal Metterie.
" Veuillez, Monsieur le préfet, pour terminer tous nos maux, accepter sa démission et vous rendrez le bonheur à toute une commune qui se trouve sous sa main de fer et qui vous a tant d'obligations de tout ce que vous avez daigné faire pour elle.
" Les conseillers sont d'accord à ne plus retourner chez lui, puisqu'il veut qu'on soit toujours de son avis. Nous avons lieu de nous méfier de ses feintes douceurs, car il nous a fait signer une injustice criante contre les mineurs Ouin au sujet du chemin qui va à Jumièges. Cette décision doit être cassée, attendu que le maire présidait la séance et ne pouvait pas être juge et partie, tenant l'autre côté du chemin, lequel doit rentrer suivant l'alignement des voisins plus bas."
Cette séance du 27 novembre ne fut pas portée au registre des délibérations, les élus s'étant retirés. Les mois passèrent. Le 10 février 1848, Metterie convoque chez lui sa dernière séance. Ordre du jour : les sommes restant à verser à l'entrepreneur et l'architecte pour la restauration de l'église. Il attend deux heures. Seul Thuillier se présente. Et se retire. Metterie ne peut plus gouverner.
Lafosse fils est désigné
Occupant jusque là le poste d'adjoint, Jean-Augustin Lafosse fut désigné par l'administration préfectorale au poste de maire. Son père était un ami de Metterie et siégeait lui aussi au conseil. Le nouvel élu manifesta aussitôt sa reconnaissance au préfet. Mais aussi ses inquiétudes...
" Yainville, le 12 février 1848,
" Par votre lettre du 11 courant j'apprends que vous m'avez nommé maire de Yainville. Je vous remercie, Monsieur le préfet, de l'honneur que vous me faites, mais sentant les obligations que m'impose cette charge, je n'accepte que par l'espoir que je conçois de pouvoir ramener le calme dans la commune.
" Je n'ai pu vous adresser le procès-verbal de mon installation car M. Metterie ne m'a pas encore remis ma commission que vous lui avez adressée.
" Au reçu de votre lettre, j'ai été chez lui, accompagné de deux conseillers municipaux, pour m'entendre avec lui et je ne l'ai pas trouvé. Comme je crains que M. Metterie ne se rende introuvable et que je n'aimerais pas à me rendre de nouveau chez lui à cet effet, je vous prierais, Monsieur le préfet, d'avoir la complaisance de l'informer que je désirerais être installé du 17 au 19 courant et de l'inviter de réunir le conseil municipal à ce sujet l'un de ces trois jours.
" Je vous prie, Monsieur le préfet, d'avoir l'obligeance de déléguer mon beau-frère, M. Boullard, adjoint à Monsieur le maire de Duclair, pour assister à mon installation et m'être en aide pour la réception des pièces, registres, papiers de la mairie.
Metterie se rétracte
Le 14 février 1848, Metterie revient sur sa démission et supplie le préfet. Mais il est déjà trop tard...
"Je vous ai offert plusieurs fois ma démission de maire de la commune d'Yainville, mais en résignant mes fonctions, j'espérais que vous me donneriez pour successeur celui que je vous avais désigné. Vous en avez nommé un autre. Il n'est pas encore installé et je me propose dans tous les cas de retarder encore de quelques jours cette installation jusqu'à ce que j'aie régularisé les actes de l'administration et fait exécuté certains travaux que j'ai commencés.
" J'étais bien décidé, au moment où j'ai eu l'honneur de vous écrire à cet égard, d'abandonner l'écharpe, mais aujourd'hui, ma résolution se trouve bien ébranlée. Je n'ai pas pour successeur celui que j'ai trouvé digne, puisque j'ai la certitude que M. Lafosse ne serait pas capable et que d'ailleurs il ne pourrait pas s'occuper de la mairie. C'est un jeune homme illettré, sans expérience et obligé par son commerce de s'absenter de chez lui au moins trois ou quatre jours de la semaine.
" Je serais donc tout disposé à retirer ma démission et à rester maire. J'espère, Monsieur le préfet, que vous me tiendrez bon compte de cette détermination et que vous l'accueillerez. Je ne crains aucun reproche sur mon administration. J'ai souvent été félicité et encouragé par vous. Les choses sont en bon train et je ne voudrais pas qu'elles en restassent là. C'est dans ce but et par pur dévouement que je reviens sur mes pas et que je vous prie de considérer ma démission comme non avenue."
Metterie se trompe. Lafosse sera l'un des meilleurs maires d'Yainville. Il détient toujours le record de longévité à ce poste.
Lafosse enfin installé
Le 19 février, à midi, Lafosse est enfin installé. Boulard, l'arpenteur de Duclair, est mandaté par le préfet pour veiller au bon déroulement de cette passation de pouvoir qui se déroule au domicile de Metterie. Lafosse prête serment de fidélité au roi et à la charte constitutionnelle du Royaume, Metterie le déclare maire. Puis on fait l'inventaire des documents détenus par l'ancien magistrat.
Dix registres d'état-civil dont le plus ancien date de 1693. Ceux de 1793 et de 1826 manquent à l'appel. Ce dernier ne sera jamais retrouvé. En revanche, on conserve aujourd'hui aux archives départementales des documents du XVIe siècle qui n'apparaissent pas dans cet inventaire.
Il manque aussi le legs du presbytère consenti par l'ancienne bonne du curé. Metterie assure ne l'avoir jamais eu entre les mains. On examine les documents cadastraux, électoraux, fiscaux... Metterie remet la carte routière du département, une caisse à fond de bois "avec son ceinturon et sa baguette", une bannière... Bref, voilà Lafosse équipé de la panoplie de maire. Il lui faut maintenant un adjoint et fait part de son embarras au préfet.
L'adjoint introuvable...
" Par votre lettre du 14 février 1848, vous me mandez de désigner un conseiller municipal pour remplir les fonctions d'adjoint. Je vous avouerai, Monsieur le préfet, que je suis très embarrassé pour le choisir, la personne que j'aurais pu vous proposer sort du conseil aux prochaines élections et ne se trouvera pas dans les conditions pour être réélue et que je pense que pour si peu de temps ce ne serait pas la peine de lui faire conférer le titre d'adjoint, d'autant plus qu'aux élections prochaines, on élira probablement un conseiller qui pourra en remplir les fonctions, c'est pourquoi, Monsieur le préfet, vous m'obligeriez beaucoup si vous me faisiez l'honneur de vouloir bien m'autoriser à désigner un conseiller municipal en suivant l'ordre du tableau pour remplir les fonctions administratives en mon absence et d'avoir la complaisance de me répondre en conséquence et à ce sujet afin que je puisse en faire part au conseil municipal sans paraître avoir provoqué votre décision."
On trouvera bientôt Lambert au poste d'adjoint. Puis Jean Isidore Aubé.
La révolution chasse le roi
Nos maires sont toujours souples d'échine lors des changements de régime. La France met un point final à la monarchie.
" Ce jourd'hui, deux mars mil huit cent quarante huit, le conseil municipal de la commune d'Yainville, réuni sous la présidence de Monsieur le maire, déclare donner son adhésion au gouvernement provisoire de la République et prie Monsieur le commissaire du gouvernement de maintenir ses membres dans leurs fonctions jusqu'aux prochaines élections.
"Membre du conseil municipal qui ont signé :
" MM Quevremont aîné, Lambert, Jeanne Joseph, Sécard Antoine, Tuillier Jacques, Pinguet, ouvrier, Masse Denis, ouvrier, Lafosse père, Lafosse fils.
Voilà Lafosse maire républicain. Le vent a en effet tourné et deux de ses devanciers veulent en profiter...
Les manigances de Metterie et Lesain
Metterie avait violemment combattu Lesain dans son refus de restaurer l'église. Il lui avait ravi son écharpe en le mettant en demeure de restituer des propriétés communales. Voilà qui n'empêcha pas nos deux protagonistes de faire alliance pour abattre Lafosse et reprendre le pouvoir. En témoigne ce rapport confidentiel :
" La commune d'Yainville, près Jumièges, canton de Duclair, a fait son adhésion au gouvernement républicain par acte en date du 2 mars 1848. Son maire est Lafosse fils. Deux habitants de la commune, Metterie, ancien maire, et Lesain, propriétaire, se sont rendus au commissariat du gouvernement pour demander à être nommés, l'un maire, l'autre adjoint.
" Le commissaire du gouvernement doit avant tout, désirer mettre à la tête des communes des hommes honorables. Or, Metterie a été destitué il y a peu de mois par l'ancienne administration pour vol, à l'occasion duquel une plainte avait été adressée à l'ancien préfet et dont il était demeuré convaincu.
" Lesain n'agit qu'au point de vue d'intérêts privés. Opposé dans tous les temps à la mesure administrative qui avait séparé Yainville de Jumièges, pour l'ériger en commune, il énonce ne désirer les pouvoirs municipaux que pour employer son influence à obtenir une nouvelle réunion.
" Tous deux sont également redoutés dans
la commune à raison de la violence de
leur caractère. Si les considérations politiques doivent être prises en considération, il est bon de dire que cette petite commune rurale (200 âmes) a été provoquée dans son adhésion par le maire actuel, Lafosse fils, et que les deux seuls conseillers municipaux qui aient refusé la leur sont précisément Lesain et Metterie. " Dans cette circonstance, n'y aurait-il pas lieu à continuer les pouvoirs du maire actuel ? Dans tous les cas, ne devrait-on pas repousser les prétentions de Lesain et Metterie ?" Ce rapport confidentiel fut entendu. Si Metterie eut le plus court Mandat, Lafosse fils aura le plus long : 37 ans ! |
La fin de Paschal Metterie Après
sa destitution, Paschal Metterie vint encore siéger au conseil
municipal parmi les propriétaires les plus imposés de la
commune. C'était alors une pratique courante que de convoquer
épisodiquement les nantis avec les élus pour recueillir
leur avis. Mais Metterie quittera bientôt Yainville pour
Guerbaville où il est mort à 78 ans le 7 octobre 1863.
Pierre Caron, gendre et commerçant déclara le
décès en compagnie d'Achille Metterie, fils, patron des
Douanes à Rouen. L'épouse de Metterie lui survécut
deux ans. Pierre Caron fut encore témoin du décès
en compagnie de Pierre Martin, ami de la défunte, 71 ans.
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Sources
ADSM 3M1472. Document numérisé aux
archives départementales par Josiane et
Jean-Yves Marchand.
Registres des délibérations du conseil
municipal d'Yainville numérisés par
Edith Lebourgeois.
Généalogie de Jean-Paul Métérie, Généanet.